Malgré son accession récente à la profession médicale, le Dr Wittmer présente une feuille de route impressionnante. Résolument engagé dans la médecine publique, il pratique à la fois à la clinique de médecine familiale de l’hôpital Notre-Dame et au CLSC des Faubourgs. Il forme par ailleurs la relève en enseignant à la Faculté de médecine de l‘Université de Montréal. Sensible à la démocratisation de la médecine dans la population, il participe à plusieurs productions audiovisuelles telles que C’est une question de santé (Savoir Média, 2020-2021), C’est humain (Télé-Québec, 2022) et le balado Dis-moi docteur (Radio-Canada Ohdio, 2021-2022).
L’amélioration de la pratique médicale, la diffusion des meilleures pratiques ne se fait pas qu’auprès des étudiants en voie d’accéder à la profession. Ce médecin de famille engagé participe activement à la campagne Choisir avec soin, une initiative canadienne qui fait la promotion de bonnes pratiques dans tous les champs de la médecine, plus spécifiquement en matière de réduction des examens et des traitements inutiles.
« Dans cet esprit, le Dr Wittmer apparaît, par ses réalisations, comme un passeur, dans le sens le plus noble du terme. Il partage et dissémine des savoirs à ses patients, à la population, à ses étudiants et à ses collègues. Il se pose ainsi comme un intermédiaire inspirant entre l’époque du médecin perçu comme le titulaire d’un savoir qu’il applique pour améliorer, voire sauver des vies humaines, à celui qui donne accès et démocratise les bonnes pratiques aux personnes qui l’entourent. » souligne le président de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ), le Dr Marc-André Amyot.
Salué par ses pairs pour son approche humaniste, le Dr Wittmer est un exemple émérite de cette nouvelle génération de médecins généralistes inspirants et proches de la population, dont l’action directe, moderne et axée sur plusieurs fronts représente trop souvent la face cachée de la médecine familiale de terrain.
« Au-delà du nombre de patients vus, du temps passé avec eux, la vraie valeur du travail du médecin de famille réside dans ce qu’on ne peut pas mesurer. Notre valeur comme soignants, dans un monde où la relation médecin-patient est parfois dénaturée en une relation de consommation de soins, ne se mesure pas au nombre de tests, de traitements, ni de médicaments qu’on prescrit. Elle se mesure à la qualité des relations qu’on forge avec nos patients et à notre capacité de prendre soin dans la globalité, explique le Dr Wittmer. Les avancées technologiques bousculeront sans contredit la pratique médicale. Mais la capacité de prendre soin restera profondément humaine. »